Que cela nous plaise ou non, nous connaissons tous au moins une pouffiasse dans notre entourage. Elles sont là, tapies dans l’ombre, prêtes à bondir sur le moindre sac à main Gucci, et vous ne les voyez peut-être pas. Soyez sans crainte, je vais vous aider à reconnaitre ces pustules grâce à trois critères infaillibles.
fuyez, pauvres fous !
1 : l’apparence
Visuellement, la pouffiasse se démarque du genre humain en adoptant un look proche de la pute tchétchène ou du faux nouveau riche clochardisé. Elle tente de camoufler la laideur intrinsèque de son âme en usant et en abusant de tous les artifices qu’elle trouve, notamment le maquillage façon poupée Barbie, tout en respectant scrupuleusement le cycle infini de la bêtise : « j’ai des boutons partout sur le visage, donc je me badigeonne la face de fond de teint, donc je choque des boutons, etc. » Voilà qui explique pourquoi on confond souvent le visage de la pouffiasse à un tableau d’art moderne, car les deux possèdent plus de peinture que de matière et on ne peut pas les encadrer. Physiquement parlant, si on fait abstraction de son atrophie cérébrale et de ses nombreuses MST, la pouffiasse ressemble à n’importe quelle laideron rom, même si, selon son taux d’alcoolémie, notre boudin moderne se prend soit pour un modèle de la Renaissance, soit pour une star du porno.
2 : le comportement
Le comportement animal de notre cobaye est très singulier, pour ne pas dire inquiétant. Bien que la pouffiasse ne s’intéresse pas à la philosophie, elle éprouve une passion sans borne pour les chaussures, Michael Moore, les sacs à main, les fleurs, Coup de foudre à Notting Hill et encore les chaussures. Athée convaincue (car c’est le seul système de pensée à portée de son cerveau de pigeon qui lui permet de concilier sa vie insipide avec des partouzes occasionnelles sans qu’elle n’éprouve pas trop le besoin de se suicider), féministe chevronnée (pour les mêmes raisons évoquées précédemment) et ignorante prétentieuse : voilà le cocktail infernal si vous voulez concocter un étron de son acabit. Par ailleurs, la put… pouffiasse a une forte tendance à claquer son bec sans cesse afin de recracher toutes les débilités qu’elle lit – certaines savent lire parait-il – dans ses références intellectuelles pour bobos attardées, telles que Voici ou Elle. Si une telle horreur vous arrive, ne vous en étonnez pas et claquez-lui simplement le beignet avec amour et tendresse afin que son cervelet cogne contre sa tempe. C’est une méthode qui marche sur certains ordinateurs récalcitrants, alors pourquoi pas avec elles ?
3 : les répliques
Pour ceux qui refusent de considérer la violence comme un moyen d’expression sain et légitime à l’égard des cloportes, vous risquez d’être confrontés à des répliques creuses et agaçantes que la pouffiasse répète inlassablement pour protéger son petit égo misérable. Étudions ensemble ces pauvres joutes verbales pavloviennes.
Je fais ce que je veux de mon corps !
Traduction : « J’ai le droit de me mutiler, d’avorter, d’inciter les autres à imiter mon comportement par ma simple pratique de dégénérée hystérique, car c’est mon corps. D’ailleurs, je peux aussi étrangler un enfant à mains nues, vu que ce sont mes avant-bras, donc mon corps »
Tu ne connais pas ma vie, ok ?
Traduction : « Si je passe mes soirées à pomper vigoureusement des inconnus en me gargarisant avec leurs semences putréfiantes, c’est que j’ai de bonnes raisons »
T’es qui pour me juger ?
Traduction : « Tu n’es pas Dieu, donc tu me laisses dire à mon fils que l’injection fortuite d’héroïne en intraveineuse est une auto-médicamentation agréable et inoffensive si elle est consommée avec modération »
Pierre Petrus